Archives de l’auteur : Henry & Bricogne

Dans son numéro de novembre 2019, la revue Dalloz AJ Contrat publie le commentaire de Xavier Henry de l’arrêt rendu le 19 septembre 2019 par la Cour de Justice de l’Union européenne (CJUE) concernant la communication par les constructeurs automobiles des informations techniques de leurs véhicules à la réparation indépendante. C’est l’occasion pour la CJUE de rappeler les droits et obligations des constructeurs au regard du règlement européen n° 715/2007.

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Publicité comparative : à quelles conditions est-ce possible ?

Réponse dans un article de notre cabinet publié le 28 novembre 2019 sur le site ecommercemag.fr rappelant les conditions légales de la publicité comparative.

https://www.ecommercemag.fr/Thematique/marketing-1221/Breves/Publicite-comparative-quelles-conditions-est-possible-344226.htm

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Lettre n° 14 – L’actualité du droit économique – septembre / octobre 2019 – Lettre d’actualité du cabinet Henry & Bricogne

Cette lettre présente une sélection de la jurisprudence en droit économique pour les mois de septembre et octobre 2019.

 

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Arrêt de la Cour d’appel de Paris du 6 novembre 2019 à propos de la convention unique et le déséquilibre significatif dans les relations entre un constructeur automobile et un distributeur

La Cour d’appel de Paris avait à statuer sur des contestations élevées par un distributeur automobile à propos de la convention unique proposée par un constructeur automobile (représenté par notre Cabinet). Les contestations étaient fondées sur l’article L. 441-7 (ancien) du code de commerce (devenu l’art. L. 441-3) régissant les conventions uniques et sur l’article L. 442-6, I, 2° (ancien) devenu l’article L 442-1, I, 2° (nouveau) du même code relatif au déséquilibre significatif. Deux enseignements principaux peuvent être tirés de l’arrêt rendu le 6 novembre dernier :

  • il n’y avait pas une soumission à des obligations déséquilibrées dès lors que le distributeur était multimarque et appartenait à un groupe de distribution important, ce qui ne témoignait pas d’un rapport de force déséquilibré. La convention unique ne pouvait donc être contestée sur le fondement de l’article L. 442-6, I, 2° (ancien).
  • le fournisseur est libre de fixer une date butoir à ses distributeurs pour signer la convention unique même si cette date est antérieure au 1er mars (en l’occurrence, la convention devait être retournée le 1er décembre de l’année n -1). A défaut de l’avoir retournée dans le délai imparti, le distributeur n’a pas droit aux remises variables stipulées dans la convention.

CA Paris arrêt 19.11.06

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Le 16 octobre 2019, le site daf-mag.fr publie un article de notre Cabinet intitulé « Entente anticoncurrentielle : définition et risques » qui permet de rappeler que des accords entre entreprises peuvent fausser la concurrence et conduire à de lourdes sanctions.

https://www.daf-mag.fr/thematique/gestion-risque-1241/breves/est-entente-anticoncurrentielle-quels-sont-risques-343108.htm#rtT50XbeFQ32wpGb.97

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La Revue Lamy de la concurrence publie dans son numéro de septembre 2019 un article de Xavier Henry  intitulé « Distribution sélective et refus de contracter : de la difficulté de concilier la jurisprudence Metro I avec les règlements d’exemption » (RLC n° 86, 9/19, p. 31).

Dans trois décisions récentes, la cour d’appel de Paris et l’Autorité de la concurrence avaient à examiner, au regard du droit de la concurrence, la validité d’un refus de contracter opposé par des têtes de réseaux de distribution sélective à des candidats à l’entrée dans ces réseaux. Elles ont notamment vérifié que le refus de contracter n’avait pas un objet anticoncurrentiel au regard de la jurisprudence issue de l’arrêt Metro I de la Cour de justice. Cependant, cette recherche n’apparaît pas utile dès lors qu’un refus de contracter qui ne constitue pas une restriction caractérisée au sens des règlements d’exemption sur les restrictions verticales applicables n’est pas illicite en lui-même. Le refus de contracter ne pourrait éventuellement que constituer une restriction  par effet (écartée cependant en l’espèce par la cour d’appel de Paris).

Revue Lamy de la concurrence n° 86 09 19 p. 31 Distribution sélective et refus de contracter

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La loi ou les entreprises prévoient un certain nombre de garanties en faveur des acheteurs de biens. Leur multiplicité fait que les justiciables peuvent se perdre dans la procédure et surtout dans les délais pour faire valoir leurs droits. Un article de notre Cabinet publié par le site chefdentreprise.com fait un point sur cette question.

https://www.chefdentreprise.com/Thematique/juridique-1055/Breves/Garantie-vices-caches-garantie-conformite-garantie-commerciale-quels-delais-agir-342309.htm#sRBlDpODiPV9EvGY.97

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Lettre n° 13 – L’actualité du droit économique – juin / juillet / août 2019 – Lettre d’actualité du cabinet Henry & Bricogne

Cette lettre présente une sélection de la jurisprudence en droit économique pour les mois de juin à août 2019.

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Examen de la validité des clauses de non-concurrence post-contractuelles ou de non-réaffiliation dans un contrat de franchise au travers d’un article de notre Cabinet paru sur le site franchise-magazine.com

https://www.franchise-magazine.com/expert-franchise/tribunes/avis-experts-contrat-franchise-clauses-non-concurrence-juridique-aout-2019

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Depuis 2008, les clauses « significativement déséquilibrées » dans les contrats commerciaux sont interdites lorsqu’elles sont imposées par la partie forte au contrat. Retour sur cette interdiction, parfois méconnue, qui a été réformée le 24 avril dernier dans un article de notre cabinet publié par le site chefdentreprise.com

https://www.chefdentreprise.com/Thematique/juridique-1055/Breves/Contrats-commerciaux-attention-clauses-desequilibrees-341228.htm#PBRcLzfTShjUFMlj.97

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